Semi-marathon de paris 2013

Mon semi-marathon de Paris 2013

Semi-marathon de paris 2013

Malgré l’enchainement des deux 10km des week-end qui ont précédé le semi de Paris 2013, j’avais une envie de revanche suite à mon semi de Paris 2012 qui m’avait laissé un goût amer.

>> Pensez à lire notre article 35 conseils pour réussir son semi-marathon

>> Le parcours du semi de Paris km par km

D-Day

En ce dimanche matin, je me lève à 6h45 avec la tête en vrac, car j’ai eu un peu de mal à m’endormir. Mais après un bon petit-déjeuner et une bonne douche, tout rentre dans l’ordre. J’ai deux hésitations ce matin. La première concerne la paire de chaussures. J’hésite entre les Adidas Energy Boost et les Mizuno Wave Elixir 7. Comme vous avez pu le lire dans l’article de test, les premières ne m’étaient pas adaptées pour ce genre de course. Mais toujours un peu superstitieux, ce sont les chaussures qui m’ont accompagné en ce début de saison, et avec lesquelles j’ai réalisé de belles performances. Je n’ai jamais couru en compétition avec les secondes paires, mais j’ai pu faire plusieurs entraînements avec elles. Elles sont pleines de promesses sur ce type d’épreuve, je décide donc de leur laisser leur chance. Ce sera aussi  une manière de faire participer Florent à cette course, ayant été obligé de faire forfait à cause de son dos. Ce sont les modèles qu’il utilise pour ses courses, et qu’il m’avaient conseillées.

Ma seconde hésitation concerne le bas: pantalon ou short? C’est toujours la même question qui se pose pour le semi de Paris. On est pile entre l’hiver et le printemps. Vous savez, c’est cette période où on croise dans la rue aussi bien des personnes en doudoune qu’en t-shirt. Je pars donc avec le pantalon sur moi, histoire de garder les muscles au chaud et j’aviserai sur place…

Je pars de Suresnes par le tram. Puis, en attendant le RER à la Défense, je tombe sur Running Guy. La première fois que je l’ai rencontré, c’était lors du semi de Lille 2011, avec Jean-Pierre. Depuis, nous nous sommes croisés de nombreuses fois, plus souvent lors de Pasta que lors de courses. Nous en profitons donc pour discuter tout le long du trajet dans le RER.

Avec Assu 2000, un accueil digne des pros

En nous rendant vers le hall de la Pinède du Parc Floral, nous tombons sur Salvio avec qui nous nous rendons vers l’espace ASSU 2000. En effet, nous sommes 4 blogueurs à être partenaires avec Assu 2000: Run Reporter Run, Jahom, Je cours Paris et moi-même. Nous avons été invités au semi et chacun de nous avions la possibilité de faire gagner 3 dossards à nos lecteurs. Nous nous retrouvons donc tous les 4 avec nos gagnants. Je retrouve 2 des 3 lecteurs de mon blog qui ont gagné leur dossard: Jean-Baptiste et Hubert. Nous somme très bien accueillis par ASSU 2000, qui nous offrent des conditions de course idéales. Nous sommes conscients que le fait de nous préparer au chaud est déjà un luxe. J’installe mes affaires et je me décide sur une ques questions du jour: ce sera le short avec les manchons de compression.

Greg Runner avec Jean-Bapstiste et HubertJ’en profite pour faire des photos avec Hubert et Jean-Baptiste. Le 3ème gagnant, Bruno, m’avait prévenu que ce serait difficile pour lui d’être à l’heure, ayant des impératifs familiaux avant la course (hey, la famille, c’est la famille). Puis nous posons tous ensemble avec Christine Arron, l’athlète ambassadrice de Assu 2000 et de la Prime Sport Santé. Les derniers finissent de se préparer, et pendant que nous attendons devant notre espace VIP, Chauchau, que nous avions rencontré lors de la Pasta Running Party organisée par la Runnosphère, en profite pour nous faire un petit coucou amical. Je rencontre aussi Marc, un lecteur assidu de mon blog.

Pause photo avec Christine ArronA peine le stand d’Assu 2000 quitté qu’on reprend la pause, histoire d’immortaliser avant le départ la fine équipe. Nous nous mettons finalement en route pour le point de rendez-vous que la Runnosphère avait fixé à ses membres ainsi qu’à tous ses lecteurs. Nous sommes nombreux à nous y retrouver, et je suis content d’y retrouver plein d’amis (je ne les cite pas pour ne ps en oublier). Nous échangeons, les sourires sont sur tous les visages. Je file retrouver le second point de rendez-vous pour faire un petit coucou à la Team Asics Presse et Elodie de l’agence Bernascom. J’y retrouve la même euphorie. Il faut dire que le soleil est également de la partie, cela promet une belle matinée.

Je regarde ma montre: 9h30; il est temps de s’échauffer. J’essaie de retrouver Philippe, Salvio et Jean-Pierre pour l’échauffement, en vain. Je m’échauffe donc tout seul avec des montées de genoux, des talons-fesses et les exercices que m’avaient appris Marc Raquil lors des entrainements organisés avec la TAP. 9h45. Connaissant Salvio et Philippe qui stressent assez facilement avant une course, je me dis qu’il doivent être déjà dans le sas. En me dirigeant vers le sas préférentiel, je les retrouve juste devant l’entrée. Je salue et encourage Seb qui est dans le sas juste derrière et j’entre dans la cage aux lions avec mes 2 compères. Puis nous rejoint Adrien M. à qui je pense avoir mis une bonne pression. On s’encourage avant le départ. Philippe me fait remarque que Zimantha, une amie Facebook, se trouve à un mètre de nous. Je l’appelle et nous échangeons quelques mots. Elle me semble a bloc (elle finira 8ème de sa catégorie!). Mais le moment est venu de se concentrer, l’heure du départ approche. Nous nous encourageons tous les trois et nous nous souhaitons une bonne course.

Top départ!

Et sans aucun avertissement, le coup de feu retentit. En moins de 20 secondes, nous franchissons la ligne de départ. Ça pousse derrière, ça avance doucement devant, il y a toujours le même problème de ceux qui avancent à 2 à l’heure; c’est un peu la cohue. Philippe et Salvio sont déjà à plus de 5 mètres devant moi, la foule m’ayant empêché de rester sur leurs talons. Au bout de 700m, j’arrive à les recoller. J’entends d’ailleurs Philippe demander à Salvio où je me trouve et je lui signale ma présence. Avec le froid, j’ai la vessie pleine. Mais il est hors de question que je m’arrête, comme j’ai pu le faire souvent, pour me soulager. Je me dis que l’envie passera au fur et à mesure de la course (ce qui sera le cas d’ailleurs). Mon objectif est de courir en moins de 1h25. Nous avons décidé de courir à 4min/km, ce qui correspond à 15km/h. Les premiers kilomètres sont courus un peu plus rapidement que prévu. Dans le 1ere virage, je croise François qui me double une nouvelle fois (c’était déjà le cas lors du 10km du 14ème et nous avions échangé après la course).

Les premiers kilomètres s’enchainent rapidement, un peu trop vite à mon gout d’ailleurs. Ayant un peu peur de reproduire la même erreur que l’année dernière, je lève le pied. De toute façon, il faut que j’apprenne à ne plus faire des départs sur les chapeaux de roue. Philippe, avec sa foulée légère et aérienne, prend la tête de notre peloton. Je reste derrière avec Salvio qui, je le sais, ne s’est pas totalement remis après sa grippe.

A la sortie du Bois de Vincennes, je guette parmi les supporters placés sur le coté mon ami Greg, qui s’est mis à la course à pied récemment. A l’approche du tiers du parcours, des encouragements ne seraient pas de refus pour booster le moral. Mais il n’a pu arriver à temps. Du coup, je demande aux spectateurs si ils dorment encore,car je les trouve totalement amorphes. La réaction est immédiate, les voix se font rapidement entendre. Je souris de plaisir.

Le 8ème km approche. En bas de la rue Charenton, un virage à 90° sur la droite permet d’accéder à la rue de Taine, la 1ère difficulté du parcours. Il s’agit d’une belle petite montée, qui m’avait anéantit l’année dernière. Cette fois, je décide de bien ralentir et de bien souffler pour éviter aux muscles de créer de l’acide lactique. Ma vitesse chute ainsi à 4’40 »/km (12,9km/h) mais je sais que c’est un mal pour un bien. Je me fais doublé par plusieurs coureurs à cet endroit. Philippe en profite pour creuser l’écart. Salvio, comme toujours, est à l’aise dans les montées, et file également devant.

De retour sur le plat, je continue à bien souffler et j’allonge progressivement la foulée. Le cardio redescend et je retrouve Salvio. Ce passage me fait un bien fou au niveau du moral. Je suis bien, et même bien mieux que l’année dernière au même endroit. L’avenue Daumesnil descend tout seul. Salvio me rappelle que nous avions couru à cet endroit l’année dernière, en juin, lors du 10km de L’Equipe. Nous avions fini le dernier kilomètre ensemble et nous avions franchis la ligne d’arrivée ensemble, située à peu près au même endroit que l’arche qui annonce les 10km du parcours. Nos bouclons les 10km en 39 minutes. Je dis à Salvio que ce ne sera pas cette fois-ci que nous battrons notre record sur cette distance…

Nous poursuivons notre route. Je suis dans ma bulle. Je bois toutes les 15 minutes ma boisson d’Isostar. Ça commence à monter pour accéder à la Place de la Bastille. Je prends une poignée de raisins secs et deux quartiers d’orange au ravitaillement. Ce faux plat montant pique un peu aux jambes, mais je récupère vite sur le boulevard Bourdon qui file vers la Seine. Salvio qui était derrière moi au moment du ravitaillement ne m’a toujours pas recollé. Je me retourne souvent pour savoir sil il se rapproche ou non. Il reste assez loin. En longeant la Seine, je regarde une nouvelle fois si il a profité de la légère descente pour recoller, mais toujours pas. Je l’entends finalement me dire quelque chose que je n’ai pas entendu, mais je comprends qu’il me dit de filer. Je lève la main pour lui signaler que j’ai compris. Ça me fait un peu mal au cœur car j’étais dans la même situation l’année dernière. Quand on est sur un semi et que, dès la première moitié du parcours, tu sens que c’est un peu dur, le moral en prend un coup et c’est pourtant le moral qui te fait tenir jusqu’à l’arrivée.

Je passe le KM12. Je regarde les allures à chaque kilomètre, elles sont constantes. Je prends mon premier gel histoire de ne pas épuiser toutes les réserves de glucides. Un petit faux plat sur le bord de Seine me ralentit un peu mais je poursuis. Je suis surpris par le nombre de personnes qui veulent absolument traverser devant moi; j’ai dû en croiser 6 sur le parcours. Le pire, c’est lorsque ce sont des personnes âgées qui veulent traverser. A 15km/h, le choc peut-être violent…

La mairie de Paris est en vue. Virage à droite, virage à gauche, épingle à droite, et hop, j’entame le retour vers le Bois de Vincennes. Encore, une fois, je dois donner de la voix pour réveiller les spectateurs. Le vent de face se fait parfois ressentir, mais il est beaucoup moins violent que l’année dernière. Et moins froid. Mais dès que je peux, je me place derrière un coureur.  Ce n’est pas toujours évident car la ligne de coureurs s’étire.
semi-marathon-paris-2013-arriveeJe suis concentré, je suis toujours dans ma bulle. Je sais qu’il y a encore un passage difficile à gérer, la montée de la rue Daumesnil. Je m’y retrouve rapidement. Même stratégie que la rue de Taine, je décide de lever le pied. Nous ne sommes qu’au 16ème kilomètre, il en reste un peu plus de 5. Je me fais doubler par le beau-frère d’un de « mes gagnants » de dossard. Mon cerveau étant au ralenti, j’ai oublié duquel. Mais il m’encourage à son passage. Plusieurs coureurs me doublent en effet sur cette partie. Cette longue montée de 1,5km, je l’avale à petits pas. Et lorsque j’arrive en haut, je peux retrouver ma foulée, je suis serein. Je me retrouve derrière le beau-frère. Je l’encourage à mon tour en lui disant de recoller au peloton devant nous. Puis je lui passe devant en lui, lâchant un petit « Allez », en espérant qu’il s’accroche à mon wagon. Mais je le sens s’éloigner dans mon dos. Un peu plus loin, je retrouve François, qui nous avait doublé au début de la course. Le dialogue est assez rapide. Moi: « tiens, encore toi?! ». François, surpris, me dis « Dis donc, tu as su ménager ta monture cette fois ». Je lui réponds que je n’allais pas me faire avoir deux fois de suite. Puis je lui lâche un dernier « Allez, courage » avant d’accélérer pour rejoindre le peloton juste devant. Déconcentré par toutes ces rencontres, je me fais avoir sur la montée de la Porte Dorée que je prends un peu trop vite. Les jambes commencent à avoir du mal à répondre. KM19. Plus que 2km et quelques foulées. J’aperçois l’avant dernière virage du parcours au loin, très serré. Puis au moment où je m’approche de l’épingle, j’entends une supportrice qui hurle « vas-y Adrien!! ». Je me retourne et je lui lâche un « ha le salaud ». Il s’agit bien du Adrien des étoiles du 8ème, sorti de nul part, qui tel un guépard a surgi de mon dos pour me doubler à toute vitesse dans l’extérieur du virage. En le voyant s’éloigner, je lui lâche un « Happy Birthday » pour l’encourager (c’était son anniversaire la veille). Il reste 2km, c’est la distance à laquelle je commence à accélérer normalement. Mais là, je sens très bien que je n’ai plus le jus suffisant. Du coup, j’attaque un peu plus tard, après le dernier virage. Je sais que ça descend mais je ne le ressens pas, chaque foulée maintenue commence vraiment à être pénible. J’en arrive même à me demander si je vais pas m’arrêter histoire de marcher un peu. Puis je me ressaisis en me disant que si je marche maintenant, pour quelques secondes de repos, je le regretterai ensuite. Faut juste maintenir la vitesse la plus rapide possible. C’est pas compliqué tout de même! Je cours le dernier kilomètre à 3’37 »/km (16,6km/h). Cette ligne droite qui n’en ai pas une, car c’est plutôt une longue courbe qui rend le finish interminable. On sait que la fin est à quelques foulées, mais la courbure du parcours rend invisible pendant un bon bout de temps la ligne d’arrivée. Puis enfin, je pense la reconnaître au loin, les photographe Maindru sont d’ailleurs là pour l’attester pour finir sur un sprint à 3’30 »/km (17,1km/h) sur les derniers 200m. Avant de franchir la ligne, j’entends qu’on m’interpelle sur le coté gauche mais j’ai à peine le temps de tourner la tête pour voir de qui il s’agit. Je découvrirai plus tard que c’est notre artiste coureur Vincent Dogna de ArtAndRun, qui s’était idéalement positionné pour prendre de magnifiques photos. Plus que 3 mètres, 2, 1. Ça y est, c’est bouclé! Un nouveau record perso, c’est sûr. J’arrête mon chrono sur la ligne et je découvre une suite de chiffres qui annonce un temps au-delà de mes espérances: 1h22min14sec (1h23min12 sec selon A.S.O.). Je continue de marcher à bout de souffle. C’est encore une fois Pascal Sylvestre, le rédacteur en chef de Runners.fr, qui m’accueille sur la ligne d’arrivée (il m’avait accueilli aussi lors du marathon de Paris l’année dernière, qu’il avait couru en tant que meneur d’allure 3h. Il me serre la main en lâchant un « mais vous arrivez tous en même temps, c’est dingue! ».

Chrono semi de Paris 2013

Record perso explosé de presque 5min!

Semi-marathon de Paris 2013: séance de kinéEn effet, juste devant moi, je vois Adrien que je félicite et que je sers dans les bras. Arrive juste devant lui, Philippe, et nous nous félicitons également. Ça s’enchaine ensuite dans mon dos avec Guy, Jean-Pierre, Victor, Salvio… Je ne sais plus où donner de la tête. L’euphorie plane sur cette ligne d’arrivée, avec une vague de chronos perso qui viennent de tomber. On nous demande gentiment d’avancer pour ne pas obstruer la ligne d’arrivée. Nous avançons donc et prenons notre poncho pour nous protéger du froid. Nous saluons la compagne et la fille de Philippe, qui a fait le déplacement pour accueillir le super papa!

Nous retirons nos médailles puis nous profitons du ravitaillement d’arrivée. Nous sortons rapidement du sas. Sur la route, nous refaisons la course. Seul Salvio, qui n’était pas dans son bon jour, est un peu triste de ne pas participer à cette moisson de records perso.

Nous nous redirigeons vers l’espace Assu 2000. Nous avons droit à un buffet pour nous ressourcer et à 3 jeunes kinés pour nous remettre les jambes d’aplomb. Nous avons encore une fois de la chance d’avoir ces conditions d’après courses. On refait la course autour d’une café, on soigne les bobos, on se change, on boit nos boissons de récup’, on mange, on plaisante. Avec les kinés, on est bien pris en main; le stress n’est pas le même que pour les kinés sur l’arrivée pour les autres coureurs. Ils prennent le temps de bien nous masser.

Nous refaisons une série de photo pour immortaliser cette course. Nous remercions le staff pour leur accueil chaleureux et nous repartons profiter du soleil, et fêter l’anniversaire de la fusée orange Adrien…

Copyright Photos:
http://thegiao2001.typepad.fr/
– Assu 2000
– Art and Run

Leurs articles:
-Grego: http://firstquartilerunners.wordpress.com/2013/03/03/semi-marathon-de-paris-2013-le-recit/
– Philippe: http://jahom.wordpress.com/2013/03/04/semi-marathon-de-paris-2013-nouveau-record/
– Anne-So: http://runningmouse.wordpress.com/2013/03/05/de-lengagement/
– Jean-Pierre: http://runreporterrun.wordpress.com/2013/03/05/semi-marathon-de-paris-2013-un-peu-plus-pres-de-etoiles/
– Hubert: http://leclercqhubert.over-blog.com/article-semi-marathon-de-paris-21e-edition-du-03-03-2013-115925185.html
– Carole: http://loveliferunning.com/mon-semi-marathon-de-paris-3-mars-2013/

Et le récit de la Runnosphère: http://www.runnosphere.org/2013/03/04/semi-de-paris-semi-et-10km-de-rueil-malmaison-pour-nos-blogueurs/

37 commentaires

  1. Toute une une course avec ce record personnel et tout un compte rendu! Je suis toujours impressionné par la richesse de tes CR.

  2. Hé ben, il a souri à pas mal de monde ce semi !
    Un grand bravo à toi pour ce nouveau record.

  3. Sandrunning

    Ton récit est super agréable à lire ! Je regrette de n’avoir pu assister à votre arrivée, ça devait être très fort !
    Impressionnée par ton 1h22 couru avec de très bonnes jambes et quand je vois à quelle allure tu boucles ton dernier km alors que tu imaginé marcher quelques secondes avant, je me dis que le corps est vraiment incroyable !!
    Encore bravo Greg !

    • Un grand merci Sandrine. Masi tu n’es pas mal non plus là tu où tu es en ce moment! 😉
      C’est vrai que pendant quelques secondes, je sais pas pourquoi en étant aussi près du but j’ai eu cette envie et cette pensée.
      Mais si tu laisses ton esprit te tirer vers le bas, tu ne peux viser plus haut. Du coup, je me suis rappeler pourquoi je courrai et surtout que je le regretterai une fois la ligne franchie.
      Du coup, quand mon esprit voulait ralentir, je me suis mis à accélérer…

  4. que de records sur ce semi (pour c’etait facile ce n’etait que le deuxième)! Bravo pour cette perf!

  5. Bravo, super temps ! Je n’ai pas réussi à suivre quand tu m’as doublé, j’étais vraiment dans le dur à ce moment là… mais bon, j’étais parti en kamikaze en passant en 38’20 aux 10 🙂

    • C’est clair que tu as fait le kamikaze! T’avais un brunch de prévu?
      Bon, on peut dire que ça fait 1 partout! 😉

  6. Bravo pour cette performance hallucinante. Un record pulvérisé de 5 min surtout en partant d’une perf. inférieure à 1 h 30 c’est assez stratosphérique.

    • Ouais, j’en étais le premier surpris. Surtout que je ne regardais que les temps au kilo. C’est au 19ème km que j’ai compris que j’allais faire dans les 1h23min, mais sans bien m’en rendre compte. C’est à l’affichage sous l’arche que j’ai vraiment tilté!

  7. Je viens de revivre la course 😉 On finit dans un mouchoir de poche ! On finira bien par l’avoir ce sprint final tous ensemble 😀 !

    • Sur les vidéos, c’est d’autant plus flagrant, même si la vidéo écrase la profondeur. Pour qu’on finisse au sprint, faudrait que tu arrêtes de nous semer dès le départ! 😉

  8. Pingback: Semi Marathon de Paris 2013 – ca va? » Je Cours Paris

  9. Félicitations Greg ! Une très belle progression !

  10. Bravo, Greg! Tu as été à la hauteur du défi 🙂

  11. Superbe CR pour une superbe course, Bravo pour ton nouveau record ,-) Bonne récupération maintenant.

  12. Vindiou ! Super bonne gestion. Qui est très certainement à l’origine de ton chrono.
    Une question me taraude : tu as pris des oranges pendant ton ravito, ça t’as fait du bien ou pas ? Cette question me taraude car pendant la formation d’entraîneur que je’ai suivi en nov dernier j’y ai cru comprendre que l’orange déshydratait.

    • Merci! Par rapport aux oranges, j’en ai très souvent pris aux ravitaillements des différentes courses auxquelles j’ai participé. Et je n’ai jamais connu de problème de déhsydratation. D’ailleurs, je prends souvent des quartiers d’orange, des grains de raisins secs ou des bananes. Ça dépende de mes envies sur le moment…

  13. Bravo ! Superbe perf’

  14. Bravo pour ta perf’ et pour ton récit, toujours aussi détaillé et intéressant! J’ai débuté la CAP à peu près en même temps que toi et connais sensiblement la même progression, juste qq minutes derrière (j’ai fini cette année mon SMP avec ton collègue de « Courir à Nantes »)…
    Ce qui laisse présager de bonnes choses pour l’avenir, bravo encore!

  15. Un chrono de folie et un record perso qui tombe…Un très grand bravo Greg. On ne t’arrête plus et quelle gestion de la course.Chapeau pour cette superbe perf’

  16. Félicitations à nouveau Greg pour cette performance. Je suis déçu en effet de n’avoir pu vous rejoindre, mais le timing était serré avec l’accompagnement de compagne et enfants au train pour qu’ils partent en vacances…
    M’enfin, ce sera pour une prochaine : 10km du Bois de Boulogne ? 10km de l’Equipe ? PSG la course ? semi de Boulogne ? voire la Foulée Suresnoise ?

    • Merci Bruno. En, effet, dommage qu’on n’ait pas pu se rencontrer. Mais je comprends parfaitement.
      Encore bravo pour tes 1h23min52sec. En partant dans le même sas, je suis sûr que tu aurais fini ta course à mes côtés (voire devant?).
      Oui, on peut se retrouver normalement sur: 10km du Bois de Boulogne, 10km de l’Equipe, et peut-être la Foulée Suresnoise.

  17. Toujours de très beau récit, merci.
    Qu’en est-il du coup de ton ressenti sur les : Mizuno Wave Elixir 7 ?
    @+

    • Merci!
      Pour la MIzuno Wave Elixir 7, mon ressenti est très positif. Je ferai un article complet sur cette chaussure, car elle mérite plus qu’un « simple » commentaire. 😉
      A bientôt!

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  21. Cool! super perf et beau récit pleins d’enseignements, 1er semi de paris dans 3 semaines pour moi

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