Maxi-Race d’Annecy: récit de mon aventure!
La Maxi-Race s’est déroulée à Annecy ce dernier week-end de mai, théâtre du championnat du monde de trail. Retour sur la version amateur, avec mon expérience de course.
Vendredi matin, je retrouve en Gare de Lyon Julien accompagné de son voisin Christophe, et Fabrice. Nous discutons un peu avant de nous diriger chacun dans notre rame en nous promettant de nous retrouver au wagon-bar. Je m’installe à ma place et quelques minutes plus tard, c’est Vincent qui m’interpelle ; sa place est juste à côté de la mienne.
Une fois le train en marche, nous nous dirigeons à notre lieu de rendez-vous prendre un café et discuter de…la MaXi-Race! Nous discutons longuement de trail et de course à pied. Puis, nous retournons chacun à notre siège pour nous reposer.
Arrivés à la gare d’Annecy à 14h30, je suis accueilli par mon pote Julos, mon accompagnateur vélo lors du 100km de Millau. Le groupe de blogueurs-traileurs se sépare, et chacun s’organise selon son planning. Avec Julos, nous nous rendons sur le village de la Maxi-Race, afin de retirer mon dossard.
Sur place, nous remontons le village des exposants et je rencontre Nicolas, exposant bien connu, que les coureurs réguliers ont sûrement rencontrés sur de nombreuses courses. Nous discutons puis il me propose de tester sa ceinture Flipbelt, ce que j’accepte volontiers.
Puis, je retire mon dossard et une fois le fameux papier entre les mains, je retrouve Anne-Marie et Patrice, de la Vercors Sport Team. Nous discutons longuement puis je finis par écourter la conversation, afin de ne pas rester trop longtemps debout et pour m’hydrater.
A la sortie du village, nous tombons sur Yann, qui sera également sur la MaXi-Race le lendemain. Au niveau organisation, il est au top. Un vanne pour hébergement à quelques pas du départ !
Julos m’accompagne à mon hôtel et retourne chez lui. Je le retrouverai dimanche. Il est temps pour moi de préparer mes affaires.
Au niveau de la tenue, je vous laisse la découvrir dans mon post précédent. Dans le sac, j’embarque quelques barres High Energy, des gels long distance + BCAA et des pâtes de fruits de la marque Isostar. Je me prépare également des mini sandwichs jambon/fromage/ pains de mie complet.
Au niveau hydratation, je mets dans mon Camel Back 1l de Prolong de Herbalife. Comme il risque de faire chaud, ma stratégie sera de diluer ce qui restera de cette boisson dans mon Camel. Je prends également une gourde de 250ml de Hydrate de Herbalife, à renouveler le plus possible, et une bouteille de Gatorade. Une fois celle-ci terminée, je la remplis de, à renouveler le plus régulièrement possible.
Une fois tout cela prêt, un bon dîner et au dodo. Car, même si je ne fais pas parti des élites avec un départ à 3h30. Mon départ a quand même lieu à 5h! Et Il faudra être en forme pour courir les 85km et grimper les 5200m du parcours.
MaXi-Race: Jour J
Levé à 8h, je prends ma douche et je descends prendre mon petit-déjeuner. Je suis seul, mais bientôt, trois participants à la course me rejoignent. Etant à plus de 6km à pied de la ligne de départ, je demande à un premier groupe s’ils ont de la place dans leur voiture. Pas de bol, leur voiture est pleine. Seconde tentative, et je partagerai un taxi. Je remonte dans ma chambre pour finaliser ma préparation.
A 4h10, nous voilà partis en taxi pour rejoindre la ligne de départ de la Maxi-Race. J’arrive à 4h30 devant le lieu de rendez-vous et je me rends compte qu’il n’y a pas de consignes pour laisser mon sac. J’appelle alors Julien pour savoir si je peux laisser mon sac dans la voiture de son pote. C’est ce qui est fait. Ouf! Merci.
Nous nous dirigeons vers le sas du départ où c’est un joyeux bordel. Tout le monde veut se mettre dans les premiers sas et du coup, il y a des bouchons, on ne peut pas y rentrer. Nous faisons quelques réglages de départ, nous captons les satellites et nous prenons quelques photos. Quelques poignées de main pour nous encourager et le speaker débute le compte à rebours. A zéro, les fumigènes rouges nous tracent le chemin. C’est parti pour la Maxi-race des amateurs…
Départ pour le sommet du Semnoz
Nous trottinons pendant quelques kilomètres avant de quitter progressivement Annecy et partir à l’assaut de la première bosse. Pas besoin de la frontale, le jour se lève et le ciel se dégage doucement, effaçant les dernière traces de l’orage nocturne. Arrivés devant l’embouchure du premier single, ça bouchonne et nous devons patienter avant de pouvoir emprunter le sentier. Une fois lancés, nous avançons doucement à la queuleuleu. Impossible de doubler pour pouvoir avancer. J’en profite pour déplier mes bâtons afin de m’économiser déjà.
Un peu plus loin, le sentier s’élargit, et nous pouvons commencer à trouver notre rythme. Yann nous double sans s’en rendre compte et Julien interpelle. Nous échangeons rapidement, mais il est en mode warrior et il continue d’avancer à un bon rythme régulier.
Je perds un peu le groupe lors des premières descentes. Je n’aime pas aller doucement dans les descentes car cela me fatigue plus qu’autre chose. Du coup, quand ça remonte, j’y vais à la cool jusqu’à ce que les amis me rejoignent. Après 2h52 de course, nous arrivons au sommet du Semnoz, la première bosse de cette Maxi-Race. Nous sommes en 700ème position (Semnoz – 2h52 – 18,4km – D+1460m – 696ème) .
Prochaine étape: Doussard
Nous prenons quelques minutes pour nous ravitailler puis nous entamons la descente. Celle-ci est d’abord en pente douce, ce qui permet de dérouler. Mais dès que la pente s’accentue, mon groupe ralentit. Je pars devant, et je ne reverrai plus la « bande à Djo » avant l’arrivée.
Les sentiers sont étroits et il n’est pas évident de doubler les colonnes de coureurs qui ne sont pas très confiants en descente. Du coup, je subis leur allure, ce qui me fait brûler les cuisses. Dès que l’opportunité se présente, je double alors. J’arrive rapidement en bas avant la seconde bosse du parcours de cette Maxi-Race. J’en profite pour faire le plein de mes deux gourdes rangées sur les bretelles de mon sac à dos, en diluant la boisson. Car il va falloir boire beaucoup aujourd’hui, le soleil commence déjà à taper. Ne voyant pas Djo & Cie arriver, je repars.
La montée jusqu’au col de la clochette se fait en sous-bois. Et je commence à être déçu de ne pas voir plus que cela les paysages. Sur la crête, une équipe bipe mon dossard, annonçant la descente vers Doussard. Je me remets à courir et à doubler quand je peux. Il y a beaucoup de boue par moment. A d’autres endroits, la roche est omniprésente et glissante, à cause de l’humidité de la nuit et de la boue laissée par les chaussures de précédents concurrents. Un coureur devant moi s’étale sur le dos. Je l’aide à se relever et je lui demande comment il va. Ca a l’air d’aller, je me remets en route. Un peu plus loin, c’est une nouvelle colonne de coureurs qui se profile. J’ai de la place pour passer, et j’annonce mon arrivée par la gauche. Mais le coureur devant la file change soudain de trajectoire. Pris dans mon élan, je glisse et je l’embarque avec moi. Je le maintiens pour qu’il reste debout tout en glissant sur quelques mètres. Nous ne tombons pas mais je m’excuse auprès de lui à plusieurs reprises. Celui-ci ne semble pas gêner par cette glissade en duo. Je poursuis.
Nous passons ensuite par une nouvelle crête avant d’entamer la dernière descente avant Doussard. La vue est dégagée à un certain moment, nous permettant de voir enfin la vue sur le lac d’Anncy. Certains coureurs en profitent pour s’arrêter; pour ma part, je poursuis, préférant prendre le temps à Doussard.
Après la descente, nous avons 3 km de plat avant d’arriver au ravito. Je déroule à une moyenne de 11km/h. La chaleur est pesante et je cherche les coins d’ombre. A l’approche du gymnase, la foule est de plus en plus nombreuse et encourageante. J’entre dans la salle de ravitaillement à 11h30, un peu avant l’heure du dej (Doussard – 6h31 – 44,3km – D+2566m – 541ème).
Sur la route du retour, vers le pas de l’Aulps
Dans le ravito, je bois un bol de soupe, un peu d’eau gazeuse et du coca coupé avec 2/3 d’eau. Je prends aussi du Gatorade. J’ai tellement soif que je ne me rends même pas compte que je bois un peu trop et que je fais trop de mélange. Je prends un peu de jambon, des morceaux de banane puis je sors pour me ravitailler en eau aux rampes de robinets mises à disposition. Je me sens bien, et je fais même un petit selfie au passage. Je repars après 7 minutes passées au stand. J’entame la seconde partie du parcours de la Maxi-Race, réputée comme plus difficile que la première moitié.
Quelques mètres après avoir quitté Doussard, je me sens fatigué. Je ne suis pas fatigué physiquement, mais j’ai juste une grosse envie de dormir. Je lutte quelques minutes en me disant que ça va passer. Finalement, un rocher me fait de l’œil et je décide de m’y poser pour y faire une petite sieste. Une fois calé, chaque traileur qui passe me demande si je vais bien. Je réponds à chaque fois oui. Mais au bout de 4-5 minutes, je comprends que ce n’est pas l’endroit ni l’heure de faire dodo. Je réfléchis et je me dis que je dois m’hydrater. Je vide plus de la moitié de ma gourde d’Hydrate de Herbalife et je prends un gel Endurance B.C.A.A. de Isostar. Je décide de repartir. Les jambes se mettent en route et mon envie de dormir s’estompe.
La montée est assez longue. Mais je peux avancer à mon rythme, les coureurs étant un peu plus parsemés sur le trajet. Le parcours est varié et avec l’altitude, la vue se dégage. On s’en prend plein les yeux. Mais le soleil en profite également pour taper. Je bois régulièrement et l’allure se réduit naturellement pour ne pas attraper un coup de chaud. Les gouttes de sueur perlent mais j’avance.
Je passe le col de la Forclaz qui est le premier pallier de la 3ème ascension de la Maxi-Race. Puis ça déroule un peu avant d’entamer une nouvelle ascension dans les bois. Arrivé au second et dernier pallier qui amène vers le Roc Lancrenaz, une vue magnifique se dégage sur le Lac d’Annecy. Je prends plaisir à contempler le paysage. Mais je vois aussi se dresser devant moi ce Roc, qui porte bien son nom. Le sentier mène abruptement vers une chemin tailler dans la roche et sécuriser par des cordes. On arrive même a des passerelles! Mais passé ce Roc, je rejoins d’autres traileurs et je me pose dans l’herbe fraîche, à l’abri du soleil. J’en profite pour m’hydrater et manger deux de mes mini sandwiches jambon/fromage. (Pas de l’Aulps – 9h45 – 58,9km – D+3976m – 485ème).
Descente pour Menton Saint Bernard
A partir de là, ça redescend. Je suis alors un autre coureur qui a une bonne allure. Nous doublons de nombreux coureurs. J’ai quelques hallucinations, pensant régulièrement voir des supporters sur les côtés qui ne sont finalement que des souches ou des rochers. Est-ce à mettre sur le compte de ma vue (je cours sans lunettes de vue ni lentilles) ou sur un problème de déshydratation persistant? Avec le recul, je pencherai pour la seconde hypothèse.
A notre allure, nous dévalons les 800m de dénivelé et les 5,5km en moins de 50 minutes. Le point d’eau est idéal pour refaire le plein de mes gourdes mais aussi passer la tête sous l’eau froide. Cela fait un bien fou. Les jambes commencent sérieusement à devenir dures et j’ai besoin d’un peu de temps pour retrouver mon allure après ce court arrêt.
Le parcours se transforme en montagnes russes, enchainant de courtes montées-descentes, bien cassantes à ce moment de la course. Les bénévoles assurent finalement que le ravitaillement n’est plus très loin. J’accélère comme je peux sur le bitume et au moment de tourner sur la dernière ligne droite qui amène à la salle de Menton Saint Bernard, Sébastien de Globe Runners m’interpelle. Je lui fait signe mais je continue mon chemin. J’ai trop soif. Je profite de la rampe d’eau juste avant d’entrer dans la salle, en me douchant la tête et en faisant le plein du Camel et des gourdes. Je bois deux bols de soupe. Je prends une assiette de pâtes, mais je découvre que c’est une salade. J’aurai préféré un plat chaud, qui aurait mieux passé qu’un plat accompagné de vinaigrette. Puis, alors que je mange quelques abricots secs, je vois Mickaël aka Lamiricoré se diriger vers moi, suivi de Séb. Nous parlons quelques secondes. Micka me dit que Julien devrait arriver. Je lui dis alors de faire passer le message à Julien que ce n’est pas la peine de tenter de me rattraper, que je suis trop loin (ce qu’il fera d’ailleurs! Mais en précisant que j’avais bien entendu demandé de faire passer le message). (Menton Saint Bernard – 11h21 – 70km – D+4226m – 465ème).
Dernière ligne droite, et 1000m de D+
Je repars en trottinant. Il reste moins de 15km, mais je sais que ça va être long. Nous avançons pendant2 km sur du plat et je discute avec un traileur. On parle de nos fils respectifs, pratiquement nés au même moment, à une semaine près. Puis nous entamons la dernière montée de la Maxi-Race. Le silence se fait. Les bénévoles sont toujours présents et encourageants. J’ai l’impression d’une ascension sans fin. Lorsque nous arrivons à l’unique pallier de cette bosse, je n’ai déjà plus d’eau. Et je sais qu’il n’y a plus de ravitaillement en eau jusqu’à l’arrivée, ce qui m’inquiète un peu. Mais avant d’entamer la dernière ascension ultime de cette Maxi-Race qui n’en finit plus, j’aperçois une voiture de l’organisation garée sur la bas côté avec de nombreux pack d’eau. Et ce n’est ps, un mirage! Je remplis une gourde que je bois aussitôt avant de la remplir de nouveau. Rechargé en eau, c’est une inquiétude en moins à gérer. Il ne me reste plus qu’à filer vers le dernier sommet de cette Maxi-Race.
A plusieurs reprises, nous pensons arriver au sommet, mais cela n’en finit plus. Nous sommes trois coureurs à nous suivre en file indienne. Nous empruntons un chemin assez dangereux avec un précipice sur le côté. Je suis obligé de me tenir au rocher sur le côté pour me sécuriser. C’est après ce passage que nous cherchons les marques qui jalonnent le parcours, en vain. Nous avons fait fausse route. Mais alors que nous étions prêts à rebrousser chemin, nous voyons un coureur filer sur un chemin parallèle au nôtre, à moins de cinq mètres de nous. Nous retrouvons le parcours et nous demandons aux coureurs que nous croisons si nous n’avons pas loupé le checkpoint. On nous confirme que non. Un panneau annonce d’ailleurs un peu plus loin de ralentir car nous arrivons au contrôle des dossards. Vu notre allure, nous leur demandons, en riant, si ils ne se moquent pas de nous. Ils enlèveront le panneau après notre passage.
La descente s’annonce enfin. Si les muscles sont assez durs, je ne sens néanmoins pas de crampes prêtes à surgir. Je décide de dérouler dans la descente, tant que l’énergie demeure. Je cours à toute vitesse, doublant de nombreux coureurs, dont des relayeurs. Ca fait toujours du bien au moral! La descente se fait en lacets et nécessite de nombreuses relances. Mais la fin est proche et l’envie de franchir la ligne se fait sentir. Je poursuis donc aussi vite que je peux. Au loin, le speaker se fait entendre. Cela motive toujours plus, même si je sais que le vent peut parfois porter la voix et vous faire croire que la ligne est toute proche. Je continue sur mon allure.
Enfin, je traverse la route pour rejoindre les berges du Lac d’Annecy, puis le ponton. Les spectateurs sont nombreux et m’encouragent. Plus j’approche de la ligne, plus la foule est nombreuse et enthousiaste. Enfin la ligne d’arrivée apparaît, avec un tapis rouge pour m’y accompagner. Sur l’estrade, je lève les bras. Je viens de terminer la Maxi-Race avec ses 85km et ses 5200m de dénivelé en 14h08. Je finis 386ème sur 2000 inscrits, et 1386 arrivants!
Finisher en 14h08 – 386ème
Passé la ligne d’arrivée, je m’écroule sur la pelouse. Puis je me relève. Je défais mon sac et je contemple au bord du lac le chemin accompli. Un traileur assis à côté de moi me reconnaît et nous échangeons. J’ai oublié son prénom, enfin je n crois pas lui avoir demandé, mais je lui promet de faire rapidement mon CR de ma Maxi-Race (voilà qui est fait!).
Nous nous rendons au ravitaillement pour reprendre de l’énergie. Puis je me mets à attendre Julien, qui ne devrait plus tarder, selon les propose de mickaël lors du dernier ravitaillement. Pendant ce temps, le speaker annonce les résultats du championnat du monde de la Maxi-Race. Les athlètes défilent sur le podium et la marseillaise est chantée à plusieurs reprises. Assis, je regarde la rediffusion sur grand écran. Le palmarès des bleus est impressionnant:
– Chez les hommes: c’est Sylvain Court qui monte sur la plus haute marche. La deuxième place revient à l’espagnol Luis Alberto Hernando, et la troisième au français Patrick Bringer.
– Chez les femmes: Nathalie Mauclair remporte la 1ère place, suivie d’une autre française Caroline Chaverot puis de l’espagnole Maite Mayora.
– En équipe, les Français prennent également la première place du podium masculin et féminin!
Sébastien me retrouve. Nous en profitons pour discuter, cela fait longtemps que nous ne sommes pas vu.
Julien & Cie arrivent un peu plus de 30 minutes après moi. Nous en profitons pour faire un bain dans le Lac d’Annecy afin de favoriser la récupération, mais surtout pour nous faire plaisir! Puis, après avoir retiré notre sweat Finisher, nous retournons à la voiture afin que je puisse récupérer mon sac. Je passe devant le stand Duo Tonic et échange rapidement avec Denis Gargaud. Il est tout sourire, la marque fonctionne très bien!
Puis Sébastien et sa compagne me raccompagneront en voiture jusqu’à mon hôtel. Ça me fait plaisir, il y avait plus de 30 minutes de marche pour y retourner et je n’avais plus trop de motivation pour avancer à pieds.
Dans ma chambre, je me repose sur le lit; c’est une belle journée de trail qui se termine. cette Maxi-Race 2015 sera un excellent souvenir!
Le championnat du monde de trail 2015
Je vous conseille de lire l’excellent article de Le Pape sur LA journée des bleus, la Maxi-Race ayant étant par la même occasion le championnat du monde de trail: http://www.lepape-info.com/courses/les-resultats-des-championnats-du-monde-de-trail-2015-annecy-le-vieux-74/
A voir également, de très belles photos de la MAxi-Raceréalisées par Timothée Nalet: http://www.peignee-verticale.com/2015/06/photos-maxi-race-championnats-monde-trail-2015.html
Récits de course:
La Maxi-Race de Yann: http://yanngobert.com/maxi-race-2015/
Le marathon de Shuseth: http://www.shuseth.com/2015/06/02/marathon-race-43km-2800d/
Commentaires
Le 2 juin 2015 à 15 h 42 min, michael a dit :
J'ai tout fait pour dissuader julien que ce n'était pas le peine de continuer tu étais trop loin ... Il est quand même reparti le con ;)
Le 2 juin 2015 à 16 h 16 min, Greg a dit :
Tu ne sais pas motiver les gens toi!!! :-D Ca m'a fait plaisir de te voir, même si c'était furtif.
Le 2 juin 2015 à 17 h 09 min, bruno a dit :
chapeau Greg. Visiblement encore une belle course. Première avec autant de dénivelé ?
Le 3 juin 2015 à 19 h 33 min, Greg a dit :
Merci Bruno!
Oui, J'ai monté d'un niveau.
Le 2 juin 2015 à 17 h 09 min, Julien a dit :
bravo Greg tu as fait une belle course !
Et le cr est sympa. On s'y croirait :)
Le 3 juin 2015 à 19 h 34 min, Greg a dit :
Merci! J'espère t'avoir refait vivre la course! ... En plus rapide! :-D
Le 2 juin 2015 à 23 h 06 min, runonline a dit :
Bon, nous n'avons toujours pas couru ensemble mais nous avons pris le même TGV pour y aller, c'est un progrès. En même temps, tu me sembles courir trop vite et surtout tu gères trop bien tes courses pour moi qui accumule encore les erreurs de jeunesse... le comble pour un V1 !!!!
C'était bon de te voir ! Bonne récupération.
Le 3 juin 2015 à 19 h 36 min, Greg a dit :
C'est clair qu'il y a du progrès. On va bien prendre un départ ensemble avant que tu prennes ta retraite j'espère! ;-)
Le 3 juin 2015 à 13 h 50 min, Running-Addict a dit :
Merci pour ce récit!! Une course bien gérée, en remontant progressivement, vraiment bravo!!
Je suis de près ta progression dans les distances en trail... Ca à l'air de pas mal marcher, je vais sûrement m'en inspirer pour y aller doucement mais sûrement! ;)
Le 3 juin 2015 à 19 h 38 min, Greg a dit :
Merci!
J'ai effectivement vu que tu avais une belle petite bosse près de chez toi pour t'entrainer. Je vais essayer de garder la distance pour éviter que tu ne me rattrapes!
Le 3 juin 2015 à 22 h 29 min, Running-Addict a dit :
Je m’entraîne discretos au Québec (enfin moyen avec le blog mais bon! :D) et je reviens t'affronter d'ici... quelques années au rythme ou tu progresses sur ces distances! ;)
Le 4 juin 2015 à 17 h 47 min, Adrien a dit :
Super récit Greg (que j'attendais...) ! Un plaisir d'échanger avec toi après la course ! Bonne récupération et prépa pour la suite !
Adrien
Le 5 juin 2015 à 9 h 49 min, Greg a dit :
Content que le CR te plaise. C'était un plaisir de te rencontrer. J'espère qu'on se retrouvera sur une prochaine course, vu que tu vas bien investir les trails d'après ce que j'ai compris. A bientôt!
Le 9 juin 2015 à 8 h 55 min, Timothée a dit :
Merci pour le partage des photos :)
Et surtout bravo pour cette première en très long !
Economise toi pour la suite de ton programme dantesque :)
Laisser un commentaire