Marathon des Villages 2012: mes 42km pour visiter Lège-Cap-Ferret
Parce que jamais 2 sans trois, j’effectuais mon troisième marathon, le 2ème cette année. Et pour ce nouveau rendez-vous, je quittais Paris pour les plages du Cap Ferret…
Arrivé le vendredi soir sur place, je suis hébergé à 10 minutes à pied du départ. Alors que je pensais avoir des conditions météorologiques parfaites, la pluie s’est invitée pour le week-end. On fera avec…
Veille de course

Je retire mon dossard auprès d’une femme très souriante. Avec le dossard, une bouteille de rouge ou de rosé, selon les goûts, est offerte (le test œnologique très prochainement sur trailandrunning.com) ainsi qu’un t-shirt technique de la course. Une enveloppe comprend également le dossard, sur lequel il est possible d’inscrire au marqueur son prénom, accompagné de la traditionnelle puce. Je profite de l’occasion pour saluer l’organisateur, David Le Goff. C’est un homme passionné par la course à pied, et qui a su créer un esprit familial avec les 450 bénévoles qui travaillent sur la course. D’ailleurs, il le rappelle: la Marathon des Villages n’est pas une course où on doit se prendre trop au sérieux, c’est une course conviviale où se mêle convivialité et bon esprit.
Le soir, pas de Pasta Party pour moi. En tout cas, pas celle organisée par l’organisation. Belle-maman s’en charge et ça se passera bien au chaud. Ce n’est pas le moment d’attraper froid! Je passe un peu de gel Friction de Foucaud sur mes jambes le soir avant d’aller me coucher. Comme je le pressens depuis 2 semaines, j’ai un manque d’énergie dans les jambes…
Le lendemain matin, je sens que le massage musculaire a fait du bien mais cela n’en fera pas non plus des jambes neuves. Je me suis levé à 7 heures. Dans 2h30 sera donné le départ. Pendant la nuit, j’ai entendu une véritable averse sur le toit. Je me dirige donc tout d’abord à la fenêtre, pour voir la pluie tomber continuellement dans une nuit encore bien présente.
Le déjeuner pris, je prépare toutes mes affaires. J’hésite encore à prendre ma veste à capuche X-Running GT AS. J’enfile donc mon t-shirt Runnosphère bleu, avec un tour de cou et des manchettes Windstopper de Gore-tex, un short de running, des manchons Boosters et une paire de Adidas Supernova Glide 4. J’ai un porte bidons Salomon dans lequel je transporterai un bidon d’un demi litre de boisson énergétique de Effinov. Lucie, mon épouse, doit se placer à mi-parcours pour faire l’échange de bidons.

A moins de 3m de la ligne, je sais que ça va être dur. Je me rappelle que je ne suis pas là pour faire une perf mais pour me faire plaisir. Je décide que je garderai le sourire pendant les 42km, quoiqu’il arrive. Le pistolet dans les mains du maire de Cap-Ferret est tendu vers le ciel, le compte a rebours est repris parles coureurs et les spectateurs…
Top Départ

J’entame les 3,5km qui nous font traverser les vallons du Canon. Ca monte, ca descend, on a l’impression d’être dans des montagnes russes. Mais les jambes sont encore trop fraîches pour ressentir les contraintes du terrain; on s’en préoccupera plus tard. Très vite, j’enlève mes manchettes puis mon buff autour du coup. Il fait humide mais les températures ne sont pas très fraîches; il fait lourd.
Je remarque assez rapidement que je cours trop vite; je vise une allure de 4’35 »/km mais je cours les trois premiers km à une vitesse qui me permettrait de terminer le marathon de moins de 3h! Je lève le pied mais j’ai du mal à trouver mon allure. Le premier ravitaillement nous attend avant d’entamer la première partie dans la forêt de pins, qui nous emmène vers le centre équestre. Dans ce bois que je connais bien pour y avoir fait à plusieurs reprises mon footing, je sais que c’est vallonné. L’air humide des bois est plus qu’agréable, les odeurs particulières font ressurgir les images d’enfance, lors de promenades automnales en forêt. Quand nous tournons sur la gauche pour pénétrer dans le centre équestre, je découvre un chemin gorgé d’eau. Il faut esquiver les flaques pour ne pas se tremper les pieds pour rien. Le centre équestre a, comme chaque année, son tournoi et les chevaux nous laissent passer. N’ayant pas l’envie de me prendre un coup de sabot, je fait des écarts pour éviter d’être trop près d’un équidé. Puis le chemin se transforme en un matelas de boue sableux qui rend le dynamisme de la foulée plus difficile. Il faut lutter quelque peu pour relancer. Nous tournons et nous retournons dans les rues qui peuvent s’apparenter à un labyrinthe. Je ne sais plus trop où je suis. D’ailleurs, lors de mes footings dans ces rues, j’aurai pu m’y perdre à chaque fois…
Nous approchons de la côtes de l’avenue de la pointe aux chevaux, une montée sur 350 mètres digne de la côte des gardes du Paris-Versailles. Je décide de faire de plus petits pas et de forcer ma respiration, afin d’oxygéner au mieux les muscles. Après 2 minutes de grimpettes, j’arrive en haut un peu essoufflé, mais pour reprendre mes esprits, je peut compter sur la descente de l’autre côté. Lucie est là, accompagnée de Pierre, Hélène et Pierre-Antoine. Pierre, placé aux avant-poste m’encourage le premier, puis ce sont les cris stridents des filles et de Pierre-Antoine qui me soutiennent. Je transmets mes manchettes et mon buff à Lucie, leur rend un beau sourire et je continue dans ma lancée. Je viens également de passer devant un des plus beaux points de vue sur le bassin d’Arcachon.
Après la descente, nous empruntons une cinquantaine de mètres sur la plage de Grand-Piquey. Un tapis anti-enlisement a été placé pour éviter de devoir courir directement sur le sable. Après être passé devant la cabane ostréicole des Frères Fabbri (oui, j’ai fait un repérage des lieux cet été, et j’ai dû m’y arrêter pour faire un approvisionnement en huîtres), nous traversons le village ostréicole. De l’autre côté, je dois emprunter un passage qui est cette fois-ci bel et bien dans le sable. il n’est pas très long, mais les concurrents qui sont passés avant moi ont déjà bien retourné le sable. J’essaie de marcher sur le côté, où le sable est le plus dur, mais vous savez comment sait de courir sur du sable…
Je poursuis le chemin qui nous amène à la route du Cap Ferret, que nous traversons. Nous empruntons la piste cyclable qui longe la route. Les passagers des véhicules arrêtés nous font signe et nous encouragent. Je poursuis mon chemin quand j’entends au loin derrière moi un « Allez Grégo » bien familier. Lucie, qui se dirige en vélo avec son père vers le prochain point d’encouragement, doit passer par la même route que j’emprunte. Je lève la main pour signaler que je l’entends bien et j’entends les cris des deux cyclistes, jusqu’à ce qu’ils arrivent à ma hauteur. Puis, c’est au tour de Rosalie, placé au bout de la route, de prendre le relais pour m’encourager. Les spectateurs sur le côté de la route sourient devant autant d’enthousiasme. Je leur rends leur sourire.
Notre route se sépare et je me dirige vers la zone de relais pour le marathon en Duo. Avant d’arriver à cette zone, je me retrouve face au stand de l’association Laurette Fugain. J’entends les applaudissements à mon passage, mais je les trouve plutôt timides (surtout après avoir entendu mes supporters). Du coup, toujours avec le sourire, je lève les bras paumes vers le haut pour demander plus de bruit, ce que ne manquent pas de faire tous les spectateurs placés dans le virage. Je les remercie d’un signe de la main. Beaucoup de monde attend sur la zone de relais son partenaire. Moi, je poursuis ma route, je viens de boucler les 16 premiers kilomètres en 1h10. Plus de boucle dans les vallons du Canon, je passe directement par la ravitaillement placé avant le bois de pins que nous avions empruntés auparavant. Au second passage, je découvre une quinzaine de bouteilles d’eau et de gels sur le côté du chemin, 200 mètres après le ravitaillement. Peut-être aurait-il fallut placer des poubelles bien après le ravitaillement afin d’avoir le temps de boire et de jeter les bouteilles, tout en courant…
Cette fois, nous ne bifurquons pas vers la droite, mais vers la gauche. Nous empruntons la piste cyclable qui longe la route forestière du Truc Vert pendant 2,5km. Au km 20, c’est là que Lucie doit se trouver afin que je troque ma gourde vide contre une gourde pleine. Bien que cette portion de route soit isolée, des spectateurs sont parsemés le long du parcours. Un groupe d’enfants encourage chacun des coureurs en donnant leur position. Je suis le 44ème coureur. Whouaou! Sachant qu’il y les Duo, je pense que je suis super bien placé. Mais en même temps, je sais déjà que je suis parti trop vite et que le reste du parcours sera beaucoup plus lent.

Sur la nationale, j’ai en ligne de mire mon partenaire de l’association Laurette Fugain, reconnaissable grâce à son t-shirt violet. Nous nous doublons mutuellement depuis le 7ème km et nous échangeons de temps en temps quelques mots. Nous passons le semi en moins d’1h35. Ça craint pour la suite, car je sais que je ne ferai jamais 3h10, en tout cas pas aujourd’hui…

En quittant progressivement les hurlements d’encouragement, un coureur me lâchera « Quel Fan Club! ».
Nous approchons du phare. Les bénévoles, vêtus de leur imperméable orange, gèrent la flux de la circulation et nous orientent vers le chemin à suivre, toujours avec le sourire, et applaudissant pour encourager chacun des coureurs. Malgré le froid, ils réchauffent le cœur des coureurs. Je pense avoir remercié chacun des bénévoles sur le parcours.
Soudain, au détour d’un carrefour, le phare se dresse face à nous. Ma montre sonne le 25ème kilomètre, c’est à partir de ce moment là que je ne vais pratiquement plus courir plus vite que les 5min/km. Je traverse plusieurs rues du Cap Ferret puis j’arrive sur une portion de route partagée en deux. L’aller se fait d’un côté et le retour de l’autre. J’encourage chacun des coureurs que je croise jusqu’au bout de la presqu’île. On entend les vagues au loin, pour finalement apercevoir l’océan au bout de cette partie du parcours, avant de devoir faire demi-tour.
Sur le retour, j’encourage les coureurs qui sont derrière moi. Certains me retournent les encouragements… Je poursuis mais c’est dur. J’approche du mur des 30km; il n’y aura plus que 12 km.
Quand je franchis les 30km, rien de spécial, je suis déjà naze depuis pas mal de temps… Mais pas exténué non plus. Je calcule vite fait, je reste encore large pour finir en moins de 3h30. Je passe à proximité de l’hôtel où Lucie et moi avions passé quelques jours après notre mariage; c’était notre lune de miel…

La 4ème féminine est toujours dans ma ligne de mire, mais s’éloigne progressivement. Je m’arrête au ravitaillement pour boire deux verres d’eau et faire le plein d’abricots secs. Je parle un peu avec le bénévoles et je repars. Je me fais doubler mais je maintiens mon allure sur la piste cyclable qui traverse le bois de pins. Cette traversée m’amène au ravitaillement du 37ème kilomètre. Il se trouve face à l’intersection où je suis passé tout à l’heure, au 20ème kilomètre. Je découvre que le dernier coureur vient de passer, suivi par la voiture le vélo balai. La piste cyclable que nous empruntons le long de la nationale est agréable. En arrivant au rond-point, de nombreuses voitures bouchonnent et je leur fais un signe de la main pour les remercier. Les spectateurs commencent à se faire plus nombreux et j’entends à nouveau des applaudissements et des encouragements.

Mais Pierre-Antoine joue parfaitement son rôle; il m’encourage et le rythme s’accélère. Nous traversons un nouveau village ostréicole, Pierre-Antoine hurle tellement que les supporters le suivent et crient sur mon passage ‘Regardez, c’est Grégo, vous le reconnaissez? C’est bien lui! ». On double un coureur en blanc et Pierra-Antoine lui dit de s’accrocher à la locomotive. Un dernier faux plat permet de franchir le KM41. Une petite bifurcation, et je retrouve le reste du fan club qui hurle déjà au loin. La foule est nombreuse et les supporters donnent aussi de la voix! Un petit tour par les cabanes du port de Piraillan, avec Lucie à mes trousses en train de me crier dessus pour m’encourager, Rosalie qui me rejoint de l’autre côté et hurle des « Go, Gréogo! » qui feraient courir un mort.

Sur la ligne d’arrivée, les journalistes se jettent sur moi…


Puis, avec mon fan club, je me remets en marche tout doucement… Car un autre chrono est en route, celui du train qui doit partir dans moins de 3heures…
Remerciements:
Je tiens à remercier:
– David Le Goff, le fondateur de la course, pour son invitation à participer au Marathon des Villages;
– les bénévoles, qui permettent à l’ensemble des participants de courir un marathon dans un lieu magnifique, mais aussi pour leurs sourires et leurs encouragements;
– Rosalie, pour m’avoir préparer un régime spécial marathonien, pour son accueil et pour ses encouragements tout au long de la course;
– Pierre-Antoine, pour son accueil, ses encouragements, son ravitaillement à mi-parcours, et son rôle de lièvre sur les derniers kilomètres;
– Hélène, Pierre, et pour leur soutien et leur encouragements d’avant, pendant et après course;
– Chloé, pour ses compétences de masseuse qui vont me permettre de récupérer au mieux;
– La Runnosphère, qui a été encore une fois de plus un soutien moral d’avant course;
– %erci à tous les amis pour les sms, les mails, les tweets et les messages sur Facebook de m’avoir suivi, soutenu et encouragé;
– Mais surtout à la meilleure des épouses: Lucie, qui me suit et m’encourage pendant la course mais aussi pendant la préparation. Sans elle, je ne serai pas marathonien.
La beauté d’un marathon se mérite: plus il est beau, plus il est dur. Le Marathon des Villages est magnifique!
Mais la dureté de l’épreuve s’efface avec les encouragements des spectateurs et des bénévoles, le splendide décor (même sous la pluie), et la convivialité des concurrents!




Commentaires
Le 10 octobre 2012 à 14 h 35 min, nicolas a dit :
Belle course et quel compte rendu ! C'est enthousiasmant de lire ça, limite on entends le bruit des vagues et des pas dans le sable. Tu as dû en baver, ça se voit sur les photos. Bon maintenant la suite, t'as pas une rando nocturne début décembre ;)
Le 10 octobre 2012 à 16 h 38 min, Greg a dit :
Merci Nicolas! Mais moi, je ne me suis pas jeté dans la mer, et je n'ai pas enfourché mon vélo pour rentrer! ;-)
Bon, petite balade début décembre, mais je vais surement faire un petit tour à Amsterdam entre temps... :-D
Le 10 octobre 2012 à 21 h 01 min, nicolas a dit :
Amsterdam c'est pour aller trottiner fin octobre ou pour visiter le marché aux fleurs :)
Le 12 octobre 2012 à 10 h 00 min, Greg a dit :
On va dire que je suis allergique au pollen... ;-)
Le 10 octobre 2012 à 14 h 59 min, jecoursparis a dit :
je doive avouer que le CR que je prefere de toi sont ce lui des marathons ;) et comme dans les autre CR, tu m'a fait revivre minute par minute ta course et comprendre combien cette type de competition est si important pour toi.
Bravo aussi pour le chrono, pas facile sur cette type de terrain, qui confirme ta fort progression de cette année sur la distance ... je te voie bien projeté sur le -3H pour 2013 .. eh eh je pet la pression :)
Le 10 octobre 2012 à 16 h 39 min, Greg a dit :
Ouais, tu dis cela pour que je fasse plus de marathons...
Les moins de 3h, je me les réserve pour un peu plus tard. Y a de fortes chances que je travaille le fond et les 10km début 2013...
Le 10 octobre 2012 à 15 h 00 min, Renaud a dit :
Bravo, Greg! Bel état d'esprit... Et même si la perf' importait peu, chapeau bas pour ce classement. Finir un marathon reste toujours une magnifique récompense. Si on y ajoute dénivelé et pluie, là c'est un exploit! Merci pour ce récit.
Le 10 octobre 2012 à 16 h 40 min, Greg a dit :
Merci Renaud!Je suis heureux de savoir que ce récit t'ait plu!
Le 10 octobre 2012 à 17 h 42 min, Sydoky a dit :
Félicitations Greg ! Un marathon pas facile à te lire mais grâce à ton fan club il est bien passé, bravo ! Je ne sais pas comment tu fais pour te souvenir de tout ;)
Le 10 octobre 2012 à 17 h 44 min, Greg a dit :
Merci beaucoup Sylvie!
C'est simple, quand j'écris mon récit, je revis la course (avec les crampes en moins!)!
Le 11 octobre 2012 à 3 h 49 min, François a dit :
Bravo Greg ! Ce parcours ne semblait pas facile. Dans les circonstances, tu as fait un bon chrono.
Le 12 octobre 2012 à 10 h 01 min, Greg a dit :
Merci François, c'est vrai que je suis assez content de moi.
Le 11 octobre 2012 à 7 h 30 min, Eponyme a dit :
Bravo, super chrono pour un marathon couru pour le plaisir ! :)
Le 12 octobre 2012 à 10 h 03 min, Greg a dit :
Merci. Cette course était en effet un véritable plaisir même si ce fut dur. D'ailleurs, en échangeant avec un coureur après le KM35, lorsque je lui ai répondu que je commençais à avoir les jambes un peu cassées, il m'a répondu tout simplement: "en même temps, c'est un marathon!"...
Le 11 octobre 2012 à 14 h 25 min, Runonline a dit :
Bravo Greg ! le tracé de ce marathon a l'air vraiment très sympa quand on regarde tes photos.
Et 3h25, c'est un joli chrono à cette étape de la saison, on voit bien le bénéfice du trail qui donne du résultat sur la route.
je me dis en te lisant : pourquoi aller toujours chercher les grands rendez-vous alors que le plaisir est si bon dans les petits ??? la réponse est sans doute dans l'équilibre entre les deux ...
Le 12 octobre 2012 à 10 h 04 min, Greg a dit :
Merci Fabrice! Oui, c'est un véritable marathon touristique.
Petites courses, grandes courses, les atmosphères sont différentes et c'est ce qui fait l'enrichissement du coureur selon moi.
Le 11 octobre 2012 à 16 h 43 min, Running Gou a dit :
Belle course, Greg. Sydoky a raison: tu as une mémoire d'éléphant!! Quelle sera ta prochaine course?
Le 12 octobre 2012 à 10 h 06 min, Greg a dit :
Merci Grégoire!
Ma prochaine course sera le semi d'Amsterdam, mais toujours en mode prépa pour ma dernière course de l'année, la Saintélyon.
Le 12 octobre 2012 à 0 h 09 min, Sandrunning a dit :
Il est extra ton récit ! On s'y croit et on a même envie d'y être et de partager ce moment !! Ton fanclub est ultra top, je crois que, si tu pouvais le louer, on serait nombreux à vouloir te l'emprunter :)
3h25... ça me fait rêver. Bravo Greg !!
Le 12 octobre 2012 à 10 h 06 min, Greg a dit :
Heureux que mon récit t'ait transporté. Je vais voir si ca peut se mettre en place la location de mon FanClub, mais je ne te promets rien! ;-)
Merci!
Le 16 octobre 2012 à 22 h 54 min, Maya972 a dit :
Encore une fois un superbe CR, j'étais obligé de faire une pause ravito à mi-lecture car tu m'avais fatigué !! ;-)
Vraiment sympa tes photos !!
J'aime bien celle du Port de Piraillan, le tshirt assorti aux volets !! Et celle des Remerciement, tout un symbole !!
Le 26 octobre 2018 à 10 h 37 min, Didier a dit :
Super compte-rendu, merci pour ce partage ! J'ai fait mon premier marathon la semaine dernière au cap-ferret et ton compte-rendu m'a fait revivre ma course Mêmes temps de passage, mêmes difficultés à la fin, et presque même temps à l'arrivée.
Même si ça date un peu, l'ambiance est toujours excellente, et l'organisation et les bénévoles au top !
Le 27 octobre 2018 à 12 h 05 min, Greg Runner a dit :
Bravo pour ton premier marathon. J'y étais aussi, mais en tant que spectateur. J'au surement dû t'encourager à un moment... Encore bravo!
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