Semi-Marathon de Paris 2012

Récit de mon semi-marathon de Paris 2012

Semi-Marathon de Paris 2012

Cela fait plusieurs mois que me trotte l’idée de passer sous la barre des 1h25 sur semi. Ma tentative ratée au semi de Lille en septembre 2011, c’est sur le semi de Paris, qui me réussit bien généralement, que je décidais de remettre cela. Début février, une vilaine grippe me fait interrompre ma préparation pendant 2 semaines. La semaine de reprise est difficile. Je sens le défi s’éloigner. Une semaine avant le semi, je me sens bien et je me dis que finalement, ce défi est peut-être à ma portée…

>> Pensez à lire notre article 35 conseils pour réussir son semi-marathon

Levé à 6h30. Comme chaque fois, avant la compétition, je déjeune un plat de pâtes au beurre. 3h avant le départ pour faciliter le digestion. Un verre de jus de fruits en guise d’accompagnement. Puis une douche, pour réveiller les muscles. Je mets mes lentilles. Ça m’a simplifié la vie, ces lentilles. Pour courir, c’est beaucoup plus sympa. Puis j’enfile la chaussette gauche, puis la droite. Et toujours une gorgée de… Je plaisante, mais cela devient un véritable rituel de se préparer. Après m’être posé la question 25 fois dans la tête « veste ou pas veste » et « short ou pantalon? », ce sera un t-shirt et un short. je n’ai pas couru avec mon short depuis… le semi de Lille, en septembre dernier. J’ajuste bien mes Booster sur les mollets, je sers correctement les lacets de mes Mizuno Wave Précision 12. J’installe mon cardio, met le tout nouveau t-shirt de la Runnosphère. Je visse ma casquette running sur la tête. Puis les couches se superposent sur ma tenue de course, histoire de ne pas avoir froid en attendant le départ. Puis je remplis mes gourdes avec les boissons Effinov. Une gourde de 500ml pour la boisson de récupération, après la course, et 2 gourdes de 250 ml avec une boisson d’effort. Une barre Mulebar dans la poche de la ceinture porte bidons. Je « check » le tout une dernière fois. J’ai tout. Je prends mon sac de sport qui contient mon pantalon, si je change d’avis sur la question du short, une serviette de bain, une paire de baskets et des vêtements secs. En cas de pluie, c’est toujours agréable de pouvoir enfiler des vêtements secs et de se tenir au chaud après la course.

Rencontre impromptue dans le métro

7h40: je claque la porte et je file en gare de l’Est prendre le métro. Les écouteurs sur les oreilles, je m’immerge dans la course. Je connais bien le parcours maintenant. Je m’en fais une représentation mentale, en accéléré, avec une musique bien électro dans les oreilles. Bastille, changement de ligne. 8 min d’attente. Je patiente en fixant les quais du port de l’Arsenal. Un tapotement sur l’épaule m’extirpe de ma concentration. Salvio, mon coéquipier du jour me rejoint. Nous discutons de la course bien entendu, en attendant Philippe, qui lui a donné rendez-vous sur ces quais. Puis nous nous engouffrons dans la première rame. Les coureurs ne sont pas encore très nombreux dans les transports en commun. Nous arrivons vers 8h20 au Château de Vincennes. Je lis les messages d’encouragement (sms, twitter, Facebook), j’envoie un massage pour l’anniversaire de Florent puis j’appelle Mathieu, bénévole sur la course, pour savoir où il se situe. Il est chargé de fermer la circulation à l’Hôtel de Ville. Lors de mon passage en courant plus tard, je ne le verrai malheureusement pas.

Nous nous dirigeons alors vers les consignes. Pas besoin de marcher des plombes dans le Parc Floral cette année, ils sont devant les sas de départ. Cette année, les consignes sont ordonnées n’ont pas en fonction des numéros de dossard mais par lettres. Nous pouvons choisir celle que nous voulons. Un peu surpris pas cette méthode, nous ne comprenons pas l’intérêt de ce système de répartition des bagages. C’est à l’arrivée qu’il est plus facile de comprendre: avec un classement par dossard, les consignes subissent des assauts des arrivants et c’est souvent du n’importe quoi. En effet, avec un classement par dossard, toutes les personnes d’une consigne arrivent à peu près en même temps. Avec une répartition aléatoire, le flux des coureurs est réparti sur 26 lettres. Ainsi, plus besoin d’attendre très longtemps pour récupérer son sac, et pas de cohue. Cela permet même de se retrouver plus facilement à l’arrivée.

Rendez-vous lettre P

Nous avons repéré les lieux et il est encore trop tôt pour se mettre en tenue. Nous arrivons donc les premiers au point de rendez-vous: la lettre P du Parc Floral. Nous y retrouvons Laurent, Paul puis Florent et Victor. Puis Sandrine. Nous discutons, de la course, du temps. Puis je commence à me déshabiller tout doucement, j’installe mon porte-gourdes et je rejoins Salvio et Philippe, déjà partis au point de repère I. Je donne mon sac, on me remet un bracelet en papier qui se casse 2 secondes plus tard. Je le mets dans poche de la manche de mon t-shirt Runnosphère. Nous retrouvons ensuite Jean-Pierre au repère P, toujours, ainsi que Giao, Emilie, (clic photo souvenir) puis Adrien, et Nicolas. C’est avec ce dernier que nous partons nous échauffer. Les 5 toilettes publiques installés sont malheureusement insuffisants pour la foule de coureurs. C’est sur les grilles du parc que je dois me soulager. Il reste encore plus de 20 minutes avant le départ mais nous décidons de retrouver nos sas respectifs. Nico nous quitte et notre trio s’installe en bonne place dans le sas rouge. Nous discutons mais nous nous concentrons de plus en plus. 15 min avant le départ. Le stress, le froid? Dans tous les cas, ma vessie se réveille de nouveau, et je ressors du sas pour me soulager une dernière fois. Je croise Grégo et nous retrouvons mes 2 coéquipiers du jour. 10 min avant le départ. Le temps passe, les enceintes crachent les cris d’une hystérique qui doit nous échauffer. Mais dans les premiers sas, c’est la concentration qui prend le dessus. Synchronisation des montres avec les satellites. Ma Garmin Forerunner 405 est prête. 5 min avant le départ. Puis un bras se lève, un pistolet en main. Pan. Le départ est lancé.

Pan! Le départ est lancé.

Moins de deux minutes. C’est le temps qu’il nous faut pour franchir la ligne de départ, juste après celui qui bouclera le semi en moins d’une heure, Stanley Biwott, à une allure ahurissante de 21,5km/h (2min47sec/km). Mais pour nous, il s’agit de bien se placer, de vite se dégager de la foule. Il est toujours incroyable de devoir déjà dépasser des personnes qui courent à moins de 12km/h. Je ne sais pas si c’est un privilège pour eux de partir en sas préférentiel. Dans tous les cas, se faire dépasser par des coureurs sur la première partie du parcours ne doit pas être très motivant pour eux. Et pour ceux qui courent plus vite, c’est comme se retrouver soudainement face à une barrière, à devoir contourner. Les injures doivent pleuvoir… Nous partons donc sur un rythme soutenu. Peut-être trop. Je me sens bien, mes jambes semblent en pleine forme. L’allure est soutenue et les premiers 8 km sont parcourus à une allure moyenne de 3min56/km. Je glisse un « va falloir ralentir si on ne veut pas exploser » à Philippe qui me répond un « Ouais, ouais » (traduisez « mon coco, t’assume l’allure que tu nous as imposée ou pas, mais moi, je continue comme ca »). Et la montée de l’avenue de Taine va me tuer et me laisser sur place. J’ai le souffle, mes jambes ne me brûlent pas à cause de l’acide lactique, mais j’ai l’impression de ne pas avoir de force. Le manque de puissance que je ressentais depuis quelques semaines éclate au grand jour…

Au bout de 7km, plus rien…

La rue de Taine me freine complètement; j’arrive péniblement en haut à une allure chutant à 5min45/km. Heureusement, un faux plat descendant permet de récupérer sans perdre trop de vitesse. J’ai toujours en ligne de mire Philippe et Salvio, qui sont 300mètres devant moi. J’approche des 9km, j’ai chaud, je décide d’enlever mes gants. Enfin mon gant, le droit. Je vais pouvoir le passer à Lucie qui se trouve bientôt sur le côté du parcours. Et je la vois enfin, accompagnée de mon meilleur pote Christophe et de Maryam. Apparemment, ils sont surpris de me voir. Je ne devais pas arrivé si tôt. Je passe mon gant à mon épouse, tape dans les mains tendues et je reçois les hurlements de mes 3 « superporters » du jour. Un moment trop rapide, j’ai à peine eu le temps de recharger les batteries mentales. Mais je continue sur ma lancée. Les 10km sont bouclés en 40 min. Too fast.

Je ralentis et je saisis un quartier d’orange. Puis la Bastille est franchie. J’ai un flashback du semi marathon de 2011. Dans mon souvenir, cette portion était dure. Je m’accroche à cette image, je me dis que courir 21km est loin d’être facile et qu’il faut repousser les limites du corps et passer avec le mental. Ca me donne un coup de boost. Quelques virages pour contourner l’Hôtel de Ville. Je cherche du regard Mathieu et Pierre-Antoine, mon beau-père. Je m’écarte de la file de coureurs qui s’étire sur la rue, pour être bien visible. Si je ne trouve pas un regard connu, peut-être qu’on me verra mieux ainsi… Finalement, personne pour me rebooster. J’apprendrai que je suis arrivé trop vite et que mon supporter de l’HV n’est pas arrivé à temps. Je poursuis le chemin avec cette longue ligne droite qui me permet de retourner à l’assaut de Bastille. Les 2 tiers du parcours sont maintenant avalés, et je n’espère pas passer à l’indigestion avant le dessert. Plus que 2km avant de retrouver mes superporters. Pourtant, au 15ème, je marche, j’en profite pour reprendre un peu de gel et boire un peu. 25 secondes de marche. Ne jamais s’éterniser. Et je repars. Puis je les vois, ils sont là, bien visibles et crient de vive voix le « Allez Grégo » qui me donne tellement d’énergie. Je donne mon second gant à Lucie, je fais un petit sourire pour les photos et c’est reparti. Je me retourne et je leur fais un dernier coucou. 100 mètres plus loin, je les entends encore hurler, ca me donne le sourire. Allez, plus que 5km. Mais le vent de face, glacial, et cette lente et longue montée n’est pas là pour aider. Je marche à nouveau. Mais à peine à l’arrêt que je sens une tape dans le dos d’un coureur qui me dit « Allez, c’est fini là ». C’est vrai que c’est fini. Alors, je lui réponds un simple « Tu as raison, merci! ». Et je me glisse dans ses foulées. Les jambes sont à bout. Dures. J’ai l’impression que c’est la première fois que je cours. Plus que 3 km, plus que 3km. Puis aux deux derniers km, je me fais une dernière marche de 20 secondes. Et c’est parti pour puiser dans les dernières forces qu’il me reste pour tout donner sur ces 2 derniers km.

Quand j’attaque mon sprint final, j’ai 1h20min53 sec indiqué au chrono de ma montre. Ca va être dur d’être sous les 1h28min. Pourtant, j’arrive à courir à vive allure, je remonte des places. De plus en plus difficilement, nombreux sont ceux qui lancent leur sprint plus tard, histoire de grappiller quelques secondes. Puis j’entends du bruit, des voix, des cris. Ce n’est qu’un stand de pom-pom girls qui signale la proximité de l’arrivée. Argh, la ligne blanche n’est pas encore là. J’accélère de nouveau, histoire d’en finir au plus vite. Puis l’arche d’arrivée est enfin là, sous mes yeux. Je m’arrache. J’ai du mal à voir le chrono officiel mais je crois lire les minutes: 28. Je cours et j’arrive enfin dans le sas d’arrivée. Temps officiel: 1h27min57sec. Pile 2 min de moins que l’année dernière. Avec un sprint final de 3’30″/km (17km/h) sur les 2 derniers km!

2 minutes de mieux qu’en 2011

Un bénévole dit de continuer d’avancer, mais je n’en peux plus. Je file vers une barrière pour m’y sécher comme une serviette-éponge. Un membre du SAMU me demande si je vais bien. Je lui réponds que j’ai tout donné. Il sourit et je souris aussi. Je suis content. Je me rends compte que je ne suis pas du tout à l’aise dans cette position. Je décide de me remettre sur mes jambes et d’avancer vers le fond du sas. Tout d’abord, récupération du poncho Adidas. Avec le froid qui vient de tomber, le vent et mon t-shirt humide, ce n’est pas le moment de prendre froid. Il y a le semi de Rueil dans 2 semaines…

La médaille des 20 ans de la course autours du coup, je me dirige vers le ravitaillement. J’engloutis une banane, quelques raisins secs, 2 quartiers d’orange. J’emporte une bouteille de Powerade citron, une bouteille de Vittel et je sors du sas les mains chargées. Le temps d’arriver aux consignes et je bois toute ma bouteille d’eau ainsi que la bouteille Powerade.

Je retrouve les 2 coéquipiers que j’ai vu filer devant moi 15 km plus tôt. Philippe explose son chrono et confirme sa belle forme du moment en passant sous le barre des 1h25, Salvio également bat son record en passant sous les 1H26. Je retrouve Mathes qui, malgré une prépa plutôt chaotique, termine dans ce même laps de temps. Florent, pour son premier semi, atteint son objectif et nous ne pourrons pas le chambrer: 1h20. Victor nous rejoint un peu plus tard avec un chrono de 1h36. Pendant tout ce temps là, je me change rapidement, je trouve qu’il fait vraiment froid. En enlevant mes chaussures, j’attrape des crampes aux 2 mollets. Florent m’aide à me les faire passer. Puis je prends mon téléphone pour prévenir tous mes fans du jour de mon chrono. Nous partons retrouver Clara, au café du coin. Nous y retrouvons Nicolas qui signe aussi son nouveau record de moins de 1h35. Clara a su le récompenser avec une belle rose!

Nous nous dirigeons vers un café qui voudra bien nous accueillir pour boire un verre. Puis Lucie m’appelle; Christophe et Maryam ne vont pas s’éterniser. Je décide de les rejoindre, c’est la moindre des choses quand des supporters se lèvent tôt le dimanche pour vous voir passer 2 fois 15 secondes et vous encourager en hurlant.

Je les retrouve à Bastille. Lucie a acheté un bouquet de roses blanches magnifique pour fêter mon nouveau record. Les femmes des coureurs de la Runnosphère sont décidément géniales!

Merci à tous ceux qui m’encouragent et m’aident à me surpasser. Même si ils préfèrent sauver des vies sur leur trajet plutôt que de  m’encourager…

Le récit de mes amis:
Jahom: http://jahom.wordpress.com/2012/03/05/semi-marathon-de-paris-2012-grand-cru/
Jean-Pierre: http://runreporterrun.wordpress.com/2012/03/06/une-drole-de-sortie-longue/
Grégo: http://firstquartilerunners.wordpress.com/2012/03/04/semi-marathon-de-paris-2012-un-peu-plus-pres-des-1-heures-30-mais-il-en-manque-toujours-un-peubeaucoup/

35 commentaires

  1. Sandrunning

    Whaou !! Super récit ! On sent l’envie, la volonté, la joie, la douleur. Tu as tout donné et tu l’as bien donné !! Terminer à 3:30 du km alors que tu étais à bout, qu’elle force !! Bravo !!
    Et je confirme, les femmes de coureurs sont extras! Bravo à Clara et à ta femme pour leur soutien et leur présence. C’est si fort !!

    • Merci Sandrine! Il faut juste que je reste constant pendant toute la course et que je ne marche pas. Cela nécessite encore un peu d’entraînements. Mais je vais réussir à rejoindre Philippe et Salvio sur leur tableau de chasse.
      En tout cas, merci pour Elles! J’ai hâte de lire ton récit!

  2. J’aime ces récits ! Du détail mais pas trop, et l’on est plongé directement dans « l’histoire » !

    Encore une superbe course Greg, félicitations pour ton chrono !

    Bonne récupération, pour le prochain semi, avec si tu continues un temps de 1h25min57sec 😀

  3. Pendant la course je t’ai vu tres sérieuse, tres concentre sur l’effort 🙂 maintenant je comprende cette concentration, tu commençais à prendre notes de ta course quelque part dans ta memoire tellement de beau details tu nous offre ici. Bravo pour ta performance et la prochaine fois arrêt de te ferme à bouffer avec l’excuse que tu est fatigue, le course Parisienne ne sont pas la SaintéLyon 🙂

    • Tu as tout compris! La concentration pour le récit!
      Quoi? Tu veux que j’arrête la bouffe?! Mais ce n’est pas possible! Vivement ma saison trail… 😉

  4. Bravo pour ta perf et ton super récit (comme d’hab!!!)

  5. Bravoo Grégoooo !!! 😀
    J’aime aussi tes récits plein de détails mais pourtant très digestes. J’en reprendrais bien un peu après le semi de Rueil ou j’en suis sûr, tu seras en meilleure forme parce-qu’une grippe, ça te met vraiment à plat et il faut plusieurs semaines pour récupérer totalement.. Alors qu’on voit bien que tu as les ressources nécessaires car tu ne demande qu’a t’envoler sur ces deux derniers kilomètres !!! 😉

    • Ah oui, peut-être un reste de grippe (je prends cette excuse! 😉 ). Je crois surtout que je dois encore travailler.Faut pas que je laisse les 2 gars de mon trio prendre l’habitude à me mettre de la distance devant!

  6. Félicitations pour ce chrono et quelle belle fin de parcours ! Bonne continuation Greg !

    • Je dirai une fin de parcours mitigée, entre marche et sprint. Y a plus glorieux comme fin. 😉
      Mais merci pour tes encouragements, je ferai encore mieux la prochaine fois, promis!

  7. L’important est de participer et de terminer.
    Belle performance !
    Le chrono sous la barre des 1h25 sera à coup sûr pour l’année prochaine !

  8. je ne peux pas m’empêcher de penser qu’avec quelques courses de plus au compteur, notamment des 10km, tu aurais réussi sans mal à terminer cette course avec moi, et le sprint aurait été beau 🙂
    l’entrainement a ses limites, rien ne remplace les conditions de course, celles où l’on apprend à cerner ses limites et jouer avec. je parle en tout cas de ce que je ressens depuis quelques mois.
    bien évidemment, c’est facile à dire, moins facile à appliquer avec les vies que nous menons. je vais probablement perdre moi même le rythme bientôt…

    • Oui, j’en parlais à Lucie de ce constat de manque de course courtes. Mais n’oublions pas qu’à l’origine, ce semi est un entrainement au marathon qui est un entrainement pour les trails. 😉
      Ne pers pas trop le rythme, l’année prochaine, je préparerai bien ce semi, et on le terminera ensemble ce sprint final, sous les 1h25!

  9. Pingback: Semi marathon de Paris 2012 une sacré défi » Je Cours Paris

  10. thepinkrunner

    Bravo pour cette très belle perf même si elle ne te satisfait pas pleinement!!

    • Merci Philippe! Mais tu sais, je suis quand même satisfait. Il faut garder des défis pour les prochaines courses, sinon, c’est trop facile! Et puis je voulais t’offrir un coup au marathons de l’Hortus. RDV fin mai! 😉

  11. Si j’ai bien tout compris, tu as décidé de faire le semi de la façon suivante : un 10 km au seuil ++ et un autre 10 km et quelques en fractionné avec récupération active sous forme de marche c’est bien ça ?

    Ca fait bizarre de lire ton récit et d’en connaitre tous les participants… alors que je ne suis pas à Paris.

  12. @Greg : 2 minutes, faut que tu apprécies tout de même car c’est bien ! Tu progresses et c’est l’essentiel. Après, je pense comme les autres que si tu abaisses ton temps sur 10 comme Philippe l’a fait cette année (elle ne ne fait que commencer !), tu fera un progrès encore plus net sur semi. Promis 🙂
    Allez, au boulot !

    • Merci Fabrice, mais j’apprécie ce chrono. J’apprécie moins la gestion de ma course. Mais je reste content au final.
      Bon, après, il faut se rappeler que ce semi, c’est censé être un entrainement pour le marathon. Donc, si je dois préparer la préparation marathon, on en finit pas! (rires) 😉

  13. Running Gou

    Belle perf’ Greg. Je te souhaite de tout casser au MDP et je t’invite à lire le récit de mon premier semi en compétition à Paris. Au plaisir de te croiser le 15 avril 2012.

    • Merci beaucoup.
      J’ai pu lire ton CR, et j’ai vu que tu t’es bien arraché, et tu t’en sors avec un magnifique chrono. bravo à toi aussi!

  14. Bravo pour cette belle performance Greg, bonne récupération et bonne suite de programme. Aah oui super CR.

  15. Bravo Greg, super CR et beau nouveau PB !

  16. Pingback: Runnosphere.org - La Runnosphère à l’assaut du semi de Paris

  17. Bernard le gros joggeur

    Salut, Greg.
    Belle perf! Tu fais un temps très intéressant et tu progresses. Je vois que cette rue de Reuilly a été quelque peu le cimetière de nos ambitions, à méditer…
    Bon courage pour ta prépa marathon!

  18. Luc Levesque

    Tu as tout donné, c’est ce qui compte. J’espère que les jambes vont bien apràs un tel finish. Beau chrono et bonne récupération.

  19. Pingback: Marathon de Paris: ligne de départ en vue | Greg Runner

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